Un grand classique Meilland tout en élégance et délicatesse. La perfection des fleurs du rosier JARDINS DE BAGATELLE ® Meimafris est ici conjuguée à un coloris raffiné et à un parfum exceptionnel. Cela rend un bel hommage à la célèbre roseraie à laquelle elle est dédiée. Par vagues successives de la fin du printemps jusqu'aux gelées apparaissent sur le rosier JARDINS DE BAGATELLE ® Meimafris de superbes roses de facture classique. Bien turbinée, la rose déroule ses 65 pétales légèrement roulottés jusqu'à former une fleur d'une rare perfection d'environ 12 cm de diamètre. Les pétales blanc crème nuancé d'ivoire se parent sur leur pourtour d'une ombre rosée surtout lorsque le temps est frais. Les roses exhalent un parfum exceptionnel, suave et tenace, composé de notes florales de Rose de Mai, de notes fruitées de citron et d'abricot nuancées d'épices. De bonne tenue, les roses composent de ravissants bouquets raffinés et parfumés. Le rosier JARDINS DE BAGATELLE ® Meimafris possède une végétation vigoureuse et érigée. Il forme un buisson plutôt droit d'une hauteur d'environ 1 mètre. Les branches s'habillent d'un abondant feuillage vert foncé et satiné qui résiste très bien aux principales maladies. Les qualités du rosier JARDINS DE BAGATELLE ® Meimafris ont été reconnues et récompensées dans plusieurs concours internationaux :Rose d'Or Genève 1984, Coupe du Parfum Paris Bagatelle 1984. Prix de la rose la plus Parfumée Madrid 1985. Rose d'Or et Grande médaille de la SNHF Poitiers 1986. Médaille d'Or Gênes 1987. Idéale en bordure et pour la fleur à couper, la variété JARDINS DE BAGATELLE ® Meimafris constituent de gracieux groupes et massifs longtemps décoratifs. La teinte douce et romantique des roses s'accorde facilement à toutes les autres couleurs, notamment dans les tons roses, mauves ou rouges. Le Parc de Bagatelle est né d'un pari fou entre la jeune reine Marie-Antoinette et son cousin le Comte d'Artois : reconstruire le château délabré et créer autour de celui-ci des jardins > en seulement 2 mois ! Pari réussi puisque la